15 ans ◈ Chasseuse ◈ Survivante◈ Outsider
Courageuse + Adaptable + Vive d’esprit + Observatrice + Acharnée
Têtue – Renfermée - Sarcastique – Froide – Agressive
Anecdotes
◈ Amdir n’aime pas les armes à feux, c’est pratique, elle l’admet, mais déjà ça fait beaucoup trop de bruit à son goût, puis c’est rare et elle ne trouve pas ça si fiable que cela. C’est pour ça qu’elle préfère son arc qu’elle a depuis quelques années ainsi que son coutelas, au moins elle sait qu’ils ne la trahiront jamais et puis dans la jungle elle me manquera jamais de flèches. Amdir ne crache jamais sur une bonne lame ou sur un nouvel arc. Et on dira ce qu’on voudra, elle se débrouille très bien avec ses armes pour son âge.
◈ Amdir possède une mémoire phénoménale, se souvenir de détails ou de geste n’est nullement difficile pour elle, mémoriser un chemin ou une carte ? Aucun problème, ses capacités mentale lui permettent d’apprendre n’importe quoi très vite, si elle s’en donne la peine, mais elle a également apprit à se tenir loin de ses sentiments et si on lui demande elle répondra qu’elle est une coquille vite, bien que cela soit faux. Par contre c’est une bille pour les prénom, elle les mélange très vite et les oublis tout aussi vite, pas le temps de s’en occuper elle pense à autre chose !
◈ Amdir a déjà tué pour survivre avec ses parents, elle n’aime pas ça, mais en réalité elle se désintéresse de la vie humaine lorsqu’elle est attaqué : sa survie et celle de ceux qu’elle aime passe avant la vie des autres. Elle tue, sans réellement sans soucier, mais si elle peut l’éviter, elle épargnera la vie préférant ne pas combattre si c’est possible, mais elle achèvera toujours les blessés
◈ La jeune fille a plusieurs cicatrices sur le corps, mais aucune dans le dos. C’est une sorte de fierté pour elle : elle n’a jamais fuit le moindre combat depuis qu’elle se bat, parce qu’avant quand elle était trop faible elle fuyait, et qu’aucun ennemi ne l’a prise par surprise. Il faut dire qu’en plus elle grimpe comme un écureuil aux arbres et qu’il peut être difficile de la battre à ce petit jeux.
◈ En quinze ans de vie Amdir ne s’est jamais approché d’un dôme, à une époque elle s’y dirigeait avec ses parents. Elle ne sait pas quoi penser des zones sûrs, enfin, elle si elle sait, mais elle garde ses avis pour elle : être dans une zone sûre lui donne des frissons : c’est presque une cage pour elle. Et elle regarde un peu de haut les personnes y vivant les considérant comme, non pas des idiots : chacun fait ce qu’il veut, mais un peu comme du bétail qui attend gentiment la mort. Amdir est amoureuse de cette vie de survie.
◈ Bien qu’elle ait souffert de la mort de ses parents, Amdir tient loin d’elle cette émotion et se concentre sur le présent, elle ne s’est pas laissé abattre, sûrement grâce à son nouveau protecteur avec qui elle vit maintenant, elle l’aime bien au fond mais préférait se couper la langue que le dire tout haut.
Histoire
Si Amdir n’aime pas réellement les dômes, pour ses grands parents cela avait été une véritable bénédiction. Malheureusement, ils n’ont jamais pu y rester plus de quelques années. Ils ont été chassés du dôme à cause de plusieurs accusations de vol et d’infractions à leur encontre. Des jaloux ? Un ennemi ? Qui sait ? Eux même ne savaient pas. Ils partirent, avec leur fille, la mère d’Amdir encore jeune et accompagné d’autres compagnons d’infortune, Amdir ignore cette partie de l’histoire, mais elle connaît la suite et elle va vous la raconter.
Vous croyez vraiment que mes parents se sont rencontrés à ce moment là ? Comme dans des rêves incroyables, avec fleurs et pétales, chandelles ... Le monde extérieur est cruel et ce charmant petit groupe en a fait les frais : coucou les plantes qui ne se mangent pas et les bestioles un tout petit peu trop agressives ! Ah bah … bye-bye le groupe et bienvenu dans la solitude de la jungle maman ! Oui, parce que mes grands-parents ont très vite quitté le désert avec leur groupe de bras cassé pour se rendre dans la Forêt. Ils ont quand même bien tenu, ma mère avait seize ans quand elle s’est retrouvé seule pour la première fois de sa vie. On dit que je ressemble à ma mère … Je n’y crois pas : je n’ai jamais eu le regard puant d’amour et de soumission qu’elle avait en regardant mon père. J’ai toujours eu du mal à comprendre comment ils avaient put s’aimer ces deux là, mais c’est la vérité, après une année entière de solitude, ils sont devenue un duo, puis des amants, puis un couple, et du couple est née une petite chose sage et rousse : moi.
Ma mère m’avait raconté que lorsque j’étais toute bébé, ils me portaient sur leur dos tour à tour. Je ne sais pas si c’est vrai, mon tout premier souvenir, c’était lors d’une pause, dans un campement de fortune où nous avions passé quelques jours. C’est complétement stupide, mais j’étais couché sous ma couverture et je regardais mes parents jouer .. Aux cartes ? Je crois, mais c’est une image calme et apaisante, que j’aime me rappeler. Mon enfance n’était pas peuplé de livres de crayons, de papiers et de sécurité. Nous n'avions rien de tout ça, je me souviens de nos marches dans les forêts épaisses humides, le goût particuliers de certaines feuilles, les campements pour nous trois, mon père qui me montrait comment grimper aux arbres, le poid de ma première arme, la douceur des lèvres de ma mère quand elle me berçait le soir pour m’endormir, l’odeur des herbes médicinales et celle du sang qui coulait des gorges ou des abdomens des bêtes, mais parfois des blessures de mes parents ou des miennes, le goût de la viande grillée, les rires et parfois le goût de l’alcool quand on partageait une soirée avec d’autres survivants, la première fois où j’ai tué ma première proie toute seule, mon premier coutelas et mon premier arc … Un mélange hétéroclytes de souvenirs qui formaient une mosaïque colorés et agréable que je complète chaque jours. En faite, ma vie n’a rien d’extraordinaire : je suis née à l’extérieur et j’ai appris à y vivre.
Tout aurais pus bien se passer … Mais mes parents on eut la brillante idée de vouloir aller vers le dôme. Je n’ai toujours pas compris pourquoi du comment ils en sont venus à avoir cette idée, mais j’avais quatorze ans et je n’avais pas envie de me retrouver toute seule perdue en pleine nature, on ne croirait pas comme ça mais j’aimais bien la compagnie de mes parents, même si j’étais aussi facile à vivre qu’un dragon enragé et encore un dragon on peut le calmer avec de la nourriture, avec moi c’est beaucoup moins sûr. Nous avons donc commencé à nous déplacer dans la forêt pour retourner vers le Dôme, même si cela ne me plaisait pas, j’essayais de ne pas faire la tête pour faire plaisir à mes parents, peut-être que c’était pour moi après tout … Je n’ai jamais pus leur poser la question.
Je me souviens, c’était en fin de journée, on était fatigués de marcher quand ils nous sont tombé dessus, d’autres survivants, cinq au total. J’ai mis une seconde à réagir, mais une seconde dans la survie c’est trop long : un couteau à percer la gorge de mon père et une hache s’est fiché dans le dos de ma mère. Autour de moi le temps s’est ralentit et un calme profond s’est installé en moi. Je savais que j’allais mourir, mais je ne me laisserais pas faire, mon arc ne me servirait à rien. Ma main a saisit mon coutelas et je me suis élancée comme au ralentit, tuer pour venger mes parents. Mon esprit s’est focalisé sur le plus proche qui tentait encore de retirer la hache du corps de ma mère. J’ai bondis sur lui et ma lame est venue mordre sa gorge. Je roulais avec lui au sol et mon regard se tourna aussitôt vers l’assassin de mon père. Je n’avais pas vu les trois autres, ils étaient restés caché, et l’autre avait eut le temps de me voir bondir. Il a paré mes premiers coups sans de difficulté. Je ne pourrais même pas vous décrire le combat … C’est dans un brouillard épais et flou. J’ai sentis ma lame mordre et déchirer tissu et chair, le froid des lames sur ma peau aussi et au moment où je le plantais une flèche se plantait dans ma cuisse. Je me souviens de mon cris rauque qui m’a semblé résonner longtemps entre les arbres. Et pourtant j’ai continué à combattre, je ne pourrais pas dire ce qu’il s’est passé, mais je garde en mémoire le coup qui m’a envoyé au sol : un coup de poignard dans l’épaule. Ensuite, c’est une suite de coups sans fins et moi qui criais à l’aide sans savoir pourquoi. Ils m’avaient cloué au sol et ils avaient visiblement très envie de me violer, malgré la douleur, je me débattais jusqu’à qu’une nouvelle blessure au torse me fasse tomber dans les pommes.
Je n’appris ce qu’il s’était passé que après, le soir lorsque Sirven accepta de m’expliquer pourquoi je me trouvais avec lui … Il m’a remit sur pieds et bien que je sois reconnaissante, je ne mâchais pas mes mots, comme d’habitude. Tout cela était il y a un an. Et aujourd’hui, je vis encore avec Sirven, c’est tout ce qu’il me reste.
Ready
J'ai 19 ans et je suis
éleveuse de loutre aka étudiante. J'ai connu After Dawn grâce à Mö. Mon personnage est un Inventé créé par moi même. J'accepte que mon personnage soit utilisé comme scénario si je venais à être supprimé. J'accepte le règlement et consens à le respecter.
Codes à remplir pour les bottins
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<font class="wr-txu">Sadie Sink◈</font> <outsiders>Amdir Minuial</outsiders>
- Code:
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<font class="wr-txu">Survivante ◈</font> <outsiders>Amdir Minuial</outsides>