Michael Harisson, la poigne de fer d'Helion

Anecdotes

◈ Ayant vécu durant de longues années de sa vie sous un code d'honneur rempli de règles strict, il n'est pas du genre à laisser passer la moindre entorse au règlement. Il sais au fond de lui que les inégalités sont nombreuses et que beaucoup rêvent d'une vie meilleure. Cependant, cela n'est pas une raison pour troubler l'ordre et le développement d'Helion qui s'efforce tant bien que mal de subvenir aux besoins de chacun. Pour Michael, les renégats qui ne respecte pas le règlement doivent être punis à leur juste valeur, voir exécuté pour les plus virulent et les plus rebelles.

◈ Vous pensez que de part son rang, il est du genre à donner des grades à tout va, par pot-de-vin, manipulation ou par égoïsme ? Que neni, Michael est le total opposé eu corrompu inbu de sa personne et de sa position. Si vous voulez un grade, si vous voulez des responsabilités ou si vous voulez une place auprès de celui ou celle que vous aimez...il va falloir gagner votre place. Le monde que l'on connaît n'est pas un terrain de jeu. Les réfugiés se battent corps et âme pour avoir leur place sous le dôme ou à Reiver, alors il faut que vous en fassier de même, peu importe votre grade ou situation, c'est vos actions qui feront votre avenir. C'est ainsi qu'il le voit et vu comment il est borné il ne changera pas d'un pouce.

◈ Michael nourrit une haine et un dégoût profond envers les conseillers ou dignitaire politique en tout genre. En effet, très peu dans l'histoire ont put, à ses yeux, comprendre les rêves des habitants du dôme et y remédier. Pour lui, la plupart d'entre eux aujourd'hui ne sont que des abrutis inbu de leurs positions parfois sans compétence, incapable de se gérer sois-même et se servir des forces armées comme garde personnel. Sans en désigner, il les croient responsable de bon nombre de problème qui aggrave aujourd'hui la situation de Helion et qui ont amené à la création de groupe rebelle. Lui qui n'aime déjà pas avoir du travail rajouté à cause d'abruti, le voilà servit.

◈ Poursuivant les traces des premiers à diriger le dôme, Michael souhaite à tout prix faire de Helion un hâvre de paix où respect des codes et égalités sont maîtres mots. Cependant il ne compte pas s'arrêter là. En effet, le général est persuadé qu'il existe des ruines de dôme comme celui-ci et mettra tout en oeuvre pour les utiliser. Cela ne pourrait qu'améliorer le quotidien de chacun et permettre à tous d'avoir plus de place. Michael en est intimement convaincu

◈ Son rêve personnel à la fois le plus secret et le plus attendu ? Malgré son air sanguin et parfois violent, Michael souhaite pouvoir un jour trouver une épouse qui saura l'accepter tel qu'il est sans parler de son rang ou de ses privilèges. Il ne cherche qu'une relation simple et empli d'amour comme beaucoup le voudrait. Un rêve parfois inaccesible pour beaucoup. Cependant il ne perd jamais ce rêve de vue, ni celui de fonder une famille et permette et sa possible descendance d'accomplir des exploits pour le plus grand nombre.

Histoire
A l'origine, personne ne saurait se douter que le général Harisson viendrait d'une classe sociale aussi basse que celle de réfugié. En effet, le jeune garçon est né à Helion entre un simple milicien de Reiver et une réfugié que l'on a accepté au sein du camp de Reiver quelques années plus tôt par dépit car elle pouvait aider dans le fonctionnement du camp. Celle-ci avant de rencontrer son mari, avait eut le temps de se former et de devenir un médecin intégré au campement. Son père de son côté, n'aspirait pas à une vie bien longue ou encore à une monté de grade fulgurante, comme la plupart de ses collègues d'ailleurs. Cet idée fut d'ailleurs la seule qui dérangeait un peu le garçon lors de son enfance. Cependant, malgré cette manière de pensée, ses parents étaient une source d'inspiration pour lui plus que n'importe qui d'autre. De sa mère, il apprit le travail acharné, le respect mais aussi la persévérance. Du côté de son père, il apprit l'honneur, la camaraderie, le maniement des armes mais aussi la poursuite de ses idéaux. Il apprit ainsi ces fondement depuis sa naissance jusqu'à devenir en âge de les appliquer.
C'est à l'âge de 15 ans qu'il finit par rejoindre la milice comme son père en appliquant ses mêmes fondement et apprentissage. C'est d'ailleurs lors de cette première année de service qu'il se créa sa propre devise : « c'est par son expérience que l'humain devient Homme et non par les péchés du monde qui l'entoure ». C'est ainsi que commença sa carrière.

A vrai dire lors de ses débuts, les choses ne furent pas facile. Comme la plupart des nouvelles recrues, il dut faire ses preuves en mission avec les autres, aucune chance de piston ou d'avantage. A Reiver, sois tu marche et te donne du mal ou alors tu crève la gueule béhante. C'est comme ça que Michael se forgea ses fondamentaux militaire, très différents de ce que on lui avait appris par le passé par ses parents. Avait-on oublié de lui dire ou était-ce délibéré pour eux aussi vérifier sa détermination de changer les choses ? Dans tous les cas, il n'avait pas abandonné et se tenait toujours en tête de ligne. A se demander à plusieurs reprise si le jeune homme était vraiment humain ou un mutant. Beaucoup ont abandonné, beaucoup sont mort mais sa motivation ne faisait que croître au fur et à mesure que le temps passait.
C'est au bout de 6 ans qu'il eut sa première promotion. Sceptique à l'origine, le capitaine de son unité, celui dirigeant les opérations en extérieur ne savait pas si il serait judicieux de le promouvoir. Cependant, un entretien en tête-à-tête et un historique de ses missions et résultats lui ont permis de faire un choix. Chacune de ses missions été un succès, du moins d'un point de vue humain. Il n'y avait aucune perte à déploré lorsqu'il s'y trouvait, les objectifs pour la plupart était atteint même si il était le seul à le faire ou non. Beaucoup de ses camarades ne compte même plus le nombre de cicatrice qui parcourent son corps dut à ses nombreuses missions en extérieur. Il fut donc normal que le grade de Sergent lui sois confié.

Tellement content de la décision de son supérieur, le jeune homme de 21 ans s'était rué pour prévenir ses parents. Pourtant, il perdit rapidement son sourire lorsque il vit sa mère sur son lit de mort avec son père à ses côtés les larmes aux yeux. Tout s'effondrait autour de lui, ses rêves, ses idéaux, ce qui lui était le plus cher. Refermant la porte derrière lui et se mettant aux côtés de sa mère , la faible discussion s'entreprit.

« Maman...je suis désolé de ne pas avoir été là plus tôt...j'aurais dût...quitte à ne pas avoir ma promotion, j'aurais du vous revoir plus vite... »

« Mon fils...tu n'est en aucun cas responsable. Tu sais...le mal sévit partout...a tous les niveaux sociaux. Mais je sais que tu arriveras à changer les choses...pour moi le voyage se termine ici...mais j'ai vécu de belles années à vos côtés...quoi qu'il arrive. »

C'est sur ces derniers mots que la mère s'éteignit laissant seul un père déjà âgé et un jeune homme avec tout un avenir devant lui qu'il risquait de gâcher. La première chose qu'il fit en séchant ses larmes, se fut de demander comment sa mère a put devenir ainsi. Son père lui expliqua brièvement que le chef de son service avait plusieurs fois fait des avances de tout type pour garder sa mère pour lui. Plusieurs fois la mère avait refusé ce qui l'avait énervé et donc il l'a surchargé de travail pour la faire céder et qu'elle le rejoigne. Cependant elle n'en fit rien et finit dans cet état.
Michael, abattu et en colère suite à ses dires, se leva sans un mot et quitta les quartiers de sa mère se dirigeant vers le centre de travail où allait sa mère et où se trouvait l'abruti qui lui avait fait ça. A peine rencontré et après seulement 2 ou 3 questions, le dit « chef » avait craché le morceau sans savoir à qui il avait affaire. Ni une, ni deux, laissant parler sa rage, il frappa l'homme en plein visage et se rua sur lui le martelant de coups encore et encore, prêt à le défigurer à vie si il le fallait pour lui montrer sa douleur. Des miliciens bien que conscient de son grade et de qui il était, vinrent le tirer et l'emmener en cellule en attendant une sanction alors que l'homme bien que blessé, se gargarisé de voir tout le monde ou presque lui obéir.

Dans sa cellule, froide, petite, humide, le Sergent eut de quoi réfléchir. Ses actions étaient-elles bonnes ? Est ce que cela changerait quelque chose ? Devait il abandonner ses rêves pour la vengeance ? Non...sa mère ne l'aurait sans doute pas voulu. Son père non plus d'ailleurs par la même occasion. Se n'est que 3 jours plus tard que l'on finit par le laisser sortir sous surveillance conscient de son potentiel mais aussi de sa dangerosité lorsque il est brisé psychologiquement.
Suivi par deux milicien il finit par entendre deux coup de feu dans la direction du même centre où avait travaillé sa mère, la panique se faisait entendre de partout mais Michael craignait le pire.
Sans se soucier de ses surveillants, il se rua vers le dit bâtiment pour aller  voir de quoi il s'agissait. Il ne trouva qu'au sol, le corps inanimé de l'homme qu'il avait frappé il y a trois jours mais aussi le corps de son père dont une balle était logé dans le crâne.
La fureur s'empara de lui de nouveau, le laissant hurler à la rage. Il avait perdu à la fois celle qui le consolait mais aussi celui qui était son modèle pour l'avenir. Suite à ces événements il ne serait plus jamais le même, aucune émotion sur son visage si ce n'est la colère ne pourrait se lire sur son visage . Pourtant c'est une lettre qui allait tout changé. En effet, lorsque les affaires du vieux milicien furent enlevé une à une, celui-ci trouva une lettre qui lui était adressé de la part de son père et qui lui expliquait ce qui se passait.

« Fiston, je ne t'apprend rien sur le fait que les corrompu, les égoïstes ou les manipulateurs existent peu importe le niveau social, cela ta mère l'a déjà expliqué sur son lit de mort alors que tu te trouvait à nos côtés. Je ne te cache pas non plus que sa mort m'a chagriné au plus haut point, je suis désolé que tu n'aie pas vu ma tristesse et que tu m'aie pris pour un monstre sans coeur car je voulais rester ton modèle quoi qu'il arrive.

J'ai entendu parler de ce que tu as fais, il y a de cela quelques heures, voir plusieurs jours en fonction de quand tu lis cette lettre. J'ai su immédiatement ce qui te passait par la tête lorsque tu es allé tabasser ce connard responsable de la mort de ta mère. Cependant je ne peux pas te laisser continuer, tu as encore un semblant d'avenir devant toi, le commandant ou les capitaines seront peut-être clément et te laisseront en vie pour faire tes preuves. Il faut que tu la saisisse, que tu ne laisse pas passer cette nouvelle chance. Quant à moi, le vieux père que je suis, ma vie va probablement bientôt toucher à sa fin. C'est pourquoi j'ai décidé sans connaître le résultat d'aller abattre cet enfoiré responsable de la mort de ta mère. Je ne veux pas que tu te sente coupable ou que tu cherche la rédemption.

Nous faisons tous des erreurs, l'être humain n'est pas parfait. Tu le sais aussi bien que moi et pourtant c'est par nos erreur que l'humanité a sut grandir, a sut se développer pour survivre. Aujourd'hui encore les erreurs sont nombreuses mais nous tenons le coups, l'humanité ne sombrera pas dans l'oubli et je suis sûr que tu saura accomplir de grande choses. Nous n'avons pas de capacités surnaturelles ou de don de voyance pour voir ce qu'il adviendra de toi mais nous savons aux fond de nous que tu arriveras à changer les choses...nous croyons en toi mon fils.

Nous t'aimons, et ce jusqu'à la fin de l'humanité. »

A la suite de cette lettre, étrangement, les larmes ne coulèrent pas, aucune émotion ne se lisait sur son visage si ce n'est un faible sourire et un « merci » adressé à ses géniteurs qui tout deux avaient donné leur vie pour permettre à leur enfant de changer l'humanité peu importe la manière.
De nouveau les années passèrent, précisément, 4 ans. Il était alors âgé de 25 ans. Sa confiance autrefois presque perdu, fut vite reprise et amélioré lui permettant d'augmenter sa renommée au sein de la milice. Peu importe la mission, peu importe la dangerosité, il ne reculait jamais lorsque on lui donnait un ordre. Sur la plupart des missions, la totalité des miliciens revinrent en vie, cependant à d'autres, le quart voir la moitié d'entre eux trouvèrent la mort. Il fallait parfois faire des sacrifices pour la réussite de l'humanité se disait intérieurement le militaire toujours en quête de progression et de responsabilité pour changer les choses comme le souhaitaient ses défunts parents. C'est d'ailleurs cette même année que le commandant décida de l'envoyer à Helion comme plusieurs autres milicien, apparemment on leur aurait diagnostiqué un souci de santé dut aux conditions extrêmes de l'extérieur. Evidemment rien ne leur empêchait de pouvoir retourner à l'extérieur mais cela n'était réellement conseillé à part si vous vouliez que votre état s'aggrave. Il finit donc par arriver à Helion, lieu de naissance de son père duquel venait mille et une choses étrange pour lui.

Une fois arrivé a destination, il fut promu comme capitaine de la zone transitoire. De cette manière il pourrait comprendre les diverses nouvelles procédures du dôme, bien différentes de Reiver mais aussi s'adapter rapidement. Il fut à la fois émerveillé de la grandeur de ces installations mais aussi horrifié des conditions des réfugiés ici à galérer pour trouver un lôgit tandis que lui été privilégié dans les niveaux supérieurs même si à ses débuts, se ne fut que les quartiers de la caserne. Il savait que les inégalités étaient pire ici qu'à Reiver qui prônait un règlement plus équitable, mais il ne s'imaginait pas à ce point. C'est même lors de sa première intervention qu'il compris la gravité de la situation générale à Helion. En effet, il était chargé de gérer une escouade dans les rues de la ville pour mater une éventuelle rébellion dans la zone. Cependant, il suffit d'un seul instant d'inattention pour qu'un civil ou plutôt un rebelle caché parmi la foule vienne donné un coup de couteau au visage de Michael lui laissant une plaie béhante partant du milieu de son front, passant par son œil heureusement fermé à ce moment là pour finalement se terminer au milieu de sa joue gauche. Comment des civils pouvaient faire preuves de tel violence ? Même à Reiver les conflits n'étaient pas aussi violent que ça. Certe, Michael en avait vu d'autre et c'était de sa faute si il n'avait pas vu le coup venir. Il se doutait d'ailleurs que l'homme avait dut être abbatu pour son action, réponse normale de la milice à ce genre d'aggression. Au fond de lui, le gradé se doutait que cet homme désespéré avait attaqué le plus haut gradé d'une escouade car il ne pouvait s'en prendre aux plus hauts placé. Il commençait même à se dire que la vie à Reiver était peut-être la meilleure vie possible en ce monde actuellement. Autant là-bas on obtenait quelque chose par ses efforts, autant à Helion peu importe les efforts que l'on peut faire, c'est en graissant la patte des forts que l'on obtient plus. Cela il le compris parfaitement et il comptait bien tout mettre en œuvre pour changer ça.

Durant 5 ans après son arrivés, peu de choses se passèrent. Ne tolérant que peu l'échec de la milice ou le non respect des règles imposé aussi bien à la milice qu'aux citoyens, il a toujours mit un point d'honneur à faire valoir son opinion malgré son grade. Il ne fallait pas s'étonner que les rebellions se multiplie si déjà les prisonniers sont traité comme du bétail. Leurs conditions devaient être meilleures. Certe ils ne devront pas être traité comme des rois, on ne doit pas leur donnée l'impression qu'il ont beaucoup d'intérêt ou la milice pourrait bien passé pour la dernière des blagues. Cependant ils doivent être traité comme des être humains, fini les jugements arrangé, fini les accusations foireuse et sans fondement. Il est temps que cela change. En parallèle de ses idées pseudo politique, Michael se chargeait aussi lorsque son emploi du temps lui permettait, de s'occuper de l'entraînement des recrues, leur inculquant les valeurs et principe de Reiver principalement pour leur dire de se surpasser, toujours s'améliorer et ne jamais rester sur ses acquis. C'est dans cette période qu'il rencontra un peu par hasard le grand chef de la milice, le général d'Helion. D'un air simple et enjoué, son supérieur a voulu discuter longuement avec lui.
Diverses recrues ou même supérieurs avait déjà parlé de lui aussi bien de manière positive que négative. Malgré ça, le général semblait intéressé par les idéaux qu'il véhiculait et préféra le mettre en garde contre les possibles corrompu politique qui préfererai garder leurs privilèges que de mettre en place une nation saine et égale. S'ensuivit alors dans les mois suivants, une relation de confiance entre le général et lui partageant leurs idées, rêves pour l'avenir. Tout deux en vinrent à la même conclusion. Si ils avaient les moyens et les votes nécessaire pour leurs idées alors ils pourraient virer les corrompu de force et créer un gouvernement militariste qui ferait obéir aux lois peut importe le statut, de cette manières ils pourraient améliorer la vie de tous comme ils l'ont toujours voulu. Cependant ce genre de chose n'est parfois qu'un doux rêve.

Finalement, Après ces long mois, le général promus Michael au rang de Commandant de niveau 1. La place semblait vacante depuis de nombreuses années et personnes ne semblait aussi digne que lui de prendre cette place, du moins, c'est ce que pensa le général et c'est ce qu'il lui avait dit. Pourtant, cette relation de confiance allait bientôt se terminer par un énorme chagrin. En effet, l'année de ses 34 ans, le général encore en place mourru lors d'un « accident ». Conscient que cela n'était pas un hasard aux vue de la situation d'Helion, Michael ne pouvait pas laisser ce poste à une simple marionette de politicien avide de pouvoir, il devait représenter un minimum le rempart contre la corruption et comptait bien tout faire pour enrayer leurs plan.
Il se présenta donc immédiatement pour le poste convaincant la plupart des miliciens de le vouloir comme nouveau général. Tous ou presque étaient conscient que le général l'avait choisis pour ses talents et ses valeurs, tous savaient qu'il ne décevrait jamais Helion. C'est par ce soutien qu'il devint le nouveau général du dôme prêt à poursuivre les idéaux caché de son prédécesseur, donnant seulement l'impression d'être la marionnette docile de ceux qui se croient manipulateur.

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